EDITO
Quand le rapport du Comité Action Publique 2022, sorti cet été, prévoit, entre autres, pour l’ESR :
- l’accroissement de l’autonomie des établissements,
- l’encadrement de leur activité par le contrat,
- l’augmentation de leurs ressources propres y compris par la libéralisation des droits d’inscription,
- une diversification accrue des établissements en vue de leur mise en concurrence selon une classification distinguant ceux qui ont une vocation régionale, nationale ou internationale,
- la dilapidation du patrimoine national avec le transfert de l’ensemble du patrimoine immobilier aux établissements,
- une gestion plus libérale (c’està-dire affranchie du statut) des enseignant.es-chercheur.es,
Et que l’avant-projet d’ordonnance sur les regroupements d’établissements propose [lire la suite dans le fichier pdf]
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